// Accueil

Dernier billet

CHARLIE ET HOBBES. DE L’ENFANTILLAGE POLITIQUE

Chacun l’a dit, chacun l’a senti : c’est horrible. Et chacun en effet fut convoqué par cette horreur, c’est-à-dire requis de réagir. La réaction ne pouvait donc relever que du registre de l’émotion pure. Et, chacun l’a dit, chacun l’a senti, du matin de l’attentat, jusqu’au grand rassemblement, ce ne fut que déversement, décharge et dégoulinure d’émotion. Il serait bien temps, après, de revenir à quelque raison, de comprendre la portée de l’événement, et d’en tirer les leçons. Loin de moi le désir de (...)